Peut-on tirer des enseignements des résultats des 43 élections cantonales partielles qui se sont déroulées entre le 1er septembre 2009 et le 1er août 2010 ? A l’extrême simplicité de l’interrogation répond la prudence face à ces multiples scrutins locaux, morcelés en d’autant d’affrontements dont les résultats contradictoires peuvent être interprétés tantôt dans un sens, tantôt dans l’autre.
Mais puisque la démocratie se définit par l’élection, la science de l’élection doit être un des principaux vecteurs de la compréhension de la vie politique. Nous adoptons donc le postulat pour la troisième année consécutive que les rapports de force qui se dégagent de ces consultations sont riches d’enseignements : c’est l’objet d’ une note de Jean Jacques Urvoas que vous trouverez ici
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