Trois sondages récents sur l’Europe qui montrent que les clivages restent vifs sur la question européenne. Je reste pour ma part persuader que la France seule dans le monde n'a aucune perspective et que la construction européenne est incontournable : ses modalités par contre sont à discuter.
Par ailleurs il, faudrait bien souvent expliquer, et c'est le rôle des responsables politiques, que les difficultés ne viennent pas de l'Europe mais résultent de problèmes que nous mêmes , en France , n'avons pas su résoudre.
Les Français et l’intégration européenne : Dans le contexte actuel de crise, 48 % souhaitent ainsi une intégration européenne renforcée avec une politique économique et budgétaire unique quand 49 % penchent pour moins d’intégration européenne et des politiques économiques et budgétaires propres à chaque Etat. Si ce clivage n’est pas structuré selon une logique gauche/droite, il revêt néanmoins une forte dimension politique et donne à voir une opposition entre les partis « centraux et modérés» et les partis plus radicaux et contestataires
Les français et la crise européenne : Ce sondage de TNS Sofres sur le comportement Sarkozy/Merkel ou sur la souveraineté budgétaire marque le même clivage
Les Français et la zone euro : Si l’Euro est plutôt perçu positivement pour l’économie, il l’est moins pour le pouvoir d’achat. Mais surtout le contraste est frappant entre les cadres, professions intermédiaires et retraités qui veulent très majoritairement rester dans l’Euro et les employés et ouvriers qui veulent très majoritairement en sortir
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