François Hollande a mis en avant la nécessité d’apporter des solutions concrètes à la crise que traverse une grande partie de la jeunesse : chômage élevé, logement trop cher, accès à la santé réduit, besoin d’autonomie malgré l’absence de revenu… . « Ce que j’apporte en plus, dit il c’est d’abord un thème principal: la réussite des jeunes ». Qui peut nier ces réalités que les indignés espagnols ont particulièrement mis sur le devant de la scène?
Qui peut nier l’urgence d’apporter des réponses concrètes aux jeunes qui rencontrent de telles difficultés.
Pour autant une politique pour le pays peut elle s’appuyer sur une seule catégorie ; il convient d’éviter tout conflit générationnel, toute opposition entres les jeunes et les anciens. Dans une société qui vieillit, l’emploi des séniors, le financement des retraites, la dépendance accrue des plus âgés….. Sont des problèmes dont l’ampleur n’est pas non plus contestable, et dont l’impact électoral ne peut être ignoré !
Dès lors ce que veulent les jeunes, ou les moins jeunes, ce n’est pas de privilégier les uns plus que les autres, c’est qu’on leur trace un avenir, qu’on le fasse à travers un contrat entre les générations. Répondre au désir d’avenir de tous les Français, c’est répondre aux aspirations légitimes de la jeunesse, sans opposer les générations entre elles !
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