La question de la décroissance revient à la « une » de l’actualité. Certains s’alarment de la croissance de la population. Les dérives Malthusiennes sont toujours présentes.
Très vite « monde finie » et « croissance de la population » provoquent un télescopage, encore amplifié par le phénomène qui est loin de se réduire « la faim dans le monde »
Dans un ouvrage récent « vie et mort de la population mondiale », Hervé LeBras revient sur cette question permanente de la « population mondiale »
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Il y montre en particulier que cette notion est très contestable. Il insiste sur la relation complexe entre le nombre des hommes sur la planète et leurs moyens de subsistance : elle dépend de considérations techniques, politiques et sociales, pas seulement de l’arithmétique.
N’oublions pas que coexistent dans le monde des zones de pénuries et des zones d’abondance, que les choix sont permanents dans l’utilisation des produits agricoles pour l’alimentation ou d’autres usages (matériaux, énergies..)
Vous pouvez aller consulter les trois conférences qu’il a donné à la cité des sciences :
L'avenir de la population mondiale : explosion ou implosion ?
Les différences de fécondité : régulation naturelle ou régulation sociale
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