Cette journée a été instituée par la loi du 10 juillet 2000 pour permettre de se souvenir des hommes, des femmes et des enfants persécutés par la politique xénophobe et raciste imposée, entre 1940 et 1945, par les forces d’occupation en collaboration avec le gouvernement dit de l’Etat français installé à Vichy, en zone libre.
Elle associe, dans notre mémoire commune, les « Justes de France » qui ont recueilli, protégé ou défendu sur notre territoire, au péril de leur propre vie et sans aucune contrepartie, une ou plusieurs personnes menacées de génocide. Cette commémoration a été fixée au 16 juillet, date anniversaire du début, pour l’Histoire, de la rafle du « Vélodrome d’Hiver » à Paris, si ce jour est un dimanche ; sinon, elle est reportée au dimanche suivant.
Elle avait lieu cette année ce dimanche 19 juillet, devant la plaque des déportés rue du donjon à Rouen.J’avais l’honneur d’y représenter la Région autour de Monsieur Le Préfet et Valérie Fourneyron , Députée Maire de Rouen .
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